La voix
La voix
Un grain de douceur arpente nos oreilles
Des mots sertis de velours nous éveille
C’est la voix ! Celle qui offre ce bien-être
Elle nous insuffle l’esprit champêtre
Ne plus douter en regardant par la fenêtre
Croire que l’espoir improbable peut renaître
Écouter ce timbre livrer à voix mélodieuse
Ses lettres de sagesse autant qu’une berceuse
Apaisant une enfant malheureuse
Sous le toit d’une nuit rigoureuse
Voyageant la nuit, le jour, au gré des frontières
Au chevet des enfants en mal de mère
Elle fabrique des histoires apaisant la colère
Pour Pédro désespéré au pied de la Cordillère
Elle s’érige en message de paix au moyen Orient
Entre Omar et Ariel ancrés au premier rang
D’un conflit qui peine à trouver un drapeau blanc
Pourtant jadis ils jouaient au bord de l’étang
En Sierra Léone elle livre ses paroles
Aux enfants-soldats, errant seuls
A l’ombre des ruines de l’école
Qui abritait de merveilleuses farandoles
Akir l’entendit dans les rues de Calcutta
Un regard perdu dans une colline de gravas
Elle lui chuchota des promesses de bons karmas
Auprès d’un bienfaiteur maharaja
Un ton suave qui se met en scène
Sur un silence cédant avec joie les rennes
De l’espace, une emprise certaine
À délivrer les âmes en peine
En fermant les yeux ce fût plus exaltant
Entendre la lumière de sa voix éclairer le temps
Tant de grâce, tant de rêves pour petits et grands
Florilège aux couleurs de tous les continents
Un grain de douceur, au fil des jours
Le pouvoir des mots notre seul recours
Laurent Mendy
Un grain de douceur arpente nos oreilles
Des mots sertis de velours nous éveille
C’est la voix ! Celle qui offre ce bien-être
Elle nous insuffle l’esprit champêtre
Ne plus douter en regardant par la fenêtre
Croire que l’espoir improbable peut renaître
Écouter ce timbre livrer à voix mélodieuse
Ses lettres de sagesse autant qu’une berceuse
Apaisant une enfant malheureuse
Sous le toit d’une nuit rigoureuse
Voyageant la nuit, le jour, au gré des frontières
Au chevet des enfants en mal de mère
Elle fabrique des histoires apaisant la colère
Pour Pédro désespéré au pied de la Cordillère
Elle s’érige en message de paix au moyen Orient
Entre Omar et Ariel ancrés au premier rang
D’un conflit qui peine à trouver un drapeau blanc
Pourtant jadis ils jouaient au bord de l’étang
En Sierra Léone elle livre ses paroles
Aux enfants-soldats, errant seuls
A l’ombre des ruines de l’école
Qui abritait de merveilleuses farandoles
Akir l’entendit dans les rues de Calcutta
Un regard perdu dans une colline de gravas
Elle lui chuchota des promesses de bons karmas
Auprès d’un bienfaiteur maharaja
Un ton suave qui se met en scène
Sur un silence cédant avec joie les rennes
De l’espace, une emprise certaine
À délivrer les âmes en peine
En fermant les yeux ce fût plus exaltant
Entendre la lumière de sa voix éclairer le temps
Tant de grâce, tant de rêves pour petits et grands
Florilège aux couleurs de tous les continents
Un grain de douceur, au fil des jours
Le pouvoir des mots notre seul recours
Laurent Mendy
